Comment devenir un proche aidant ?

Vous devez vous préparer avant de tenir le rôle de proche aidant pour votre parent âgé en fin de vie. Vous devez :

• Vous renseigner sur sa maladie et sa condition de vie : cette étape vous permet de mieux anticiper ses besoins. N’hésitez pas à communiquer avec le médecin qui suit l’évolution de son état et avec les autres personnels de santé qui s’occupent de lui.

• Identifier les ressources disponibles : vous pouvez vous informer sur les services de soutien disponibles, tels que les soins palliatifs, les services de santé à domicile, les groupes de soutien et les ressources communautaires.

• Établir un plan de soins avec votre proche en fin de vie et les professionnels de la santé. Il faut que ce plan réponde à ses besoins physiques, émotionnels et spirituels.

• Établir une relation de confiance avec la personne âgée en fin de vie pour mieux la soutenir.

• Être attentif à ses directives anticipées, qui comportent ses dernières volontés en rapport avec les soins médicaux qu’elle souhaite ou non recevoir, et l’aider à les rédiger si nécessaire.

• Avoir certaines compétences : vous pouvez être amené à donner des soins de base à votre proche parent en fin de vie et à prendre soin de lui en cas de douleur. Bien évidemment, vous ne pouvez agir que sous la recommandation du médecin.

• Être flexible et patient : l’accompagnement d’un parent âgé en fin de vie peut impacter vos émotions (vous pouvez ressentir de la colère et de la tristesse face à votre impuissance pour l’aider à aller mieux). Vous devez alors être patient avec vous-même et avec le proche que vous aidez, et vous adapter aux changements.

N’oubliez pas de prendre soin de vous, de vous reposer, de manger sainement et de chercher du soutien émotionnel pour vous-même, pour que vous puissiez aller au bout d’un tel accompagnement.

Quels sont les droits du proche aidant ?

La loi de 2005 ou la loi Leonetti vous permet, en tant que proche aidant, d’avoir un congé pour solidarité familiale. Vous pouvez de ce fait vous absenter de votre poste durant 3 mois, renouvelable une fois, ou selon les dispositions conventionnelles, mais vous n’allez pas être rémunéré.

Odella, un site de conseils sur l’accompagnement en fin de vie explique plus en détail les droits d’un aidant. Vous avez notamment droit à :

• Un congé de proche aidant : peu importe le secteur où vous travaillez, public ou privé, vous pouvez cesser d’exercer votre activité personnelle, durant une durée déterminée par des dispositions conventionnelles, pour accompagner votre proche parent en fin de vie et vous allez être indemnisé. Cela dit, vous ne pouvez avoir ce congé que sous certaines conditions.

• Une allocation journalière du proche aidant ou AJPA : une aide financière qui va compenser la perte salariale des aidants durant 3 mois.

• Une allocation journalière d’accompagnement de personne en fin de vie ou AJAP que vous pouvez percevoir si vous avez déjà obtenu un congé pour solidarité familiale. Elle est versée pendant 21 jours maximum pour un congé à temps plein et pendant 42 jours pour une prise à temps partiel.

Comment entretenir la mémoire ?

Tout comme les muscles, la mémoire a besoin d’un entretien. En effet, plus on s’exerce avec des activités intellectuelles, plus la capacité du cerveau à enregistrer des informations augmente. Pour stimuler la mémorisation, des activités simples comme la lecture, l’application de divers jeux intellectuels usant de chiffres et de mots sont idéales. La pratique régulière de sport augmente l’apport d’oxygène au niveau du cerveau, lui permettant de bien retenir des données. Une bonne hygiène de vie retarde le vieillissement des cellules neuronales et assure ainsi une optimisation de leur fonction. Cela exige une bonne alimentation et des sommeils complets. Les repas à base d’huile de poisson ou d’oméga 3, de vitamine B et de fer sont à privilégier. Quant au sommeil, il doit être profond et réparateur car la mémorisation de nouvelles informations se fait pendant l’endormissement. L’état de santé peut aussi altérer la mémorisation. De ce fait, il faut remédier aux stress, dépression et anxiété pour avoir une bonne faculté de rétention. Pour ceux et celles qui doivent se souvenir d’un grand nombre de choses, pour leurs études par exemple, des méthodes mnémotechniques attestées par plusieurs auteurs et experts sont à leurs dispositions.

Les produits et les plantes qui boostent la mémorisation

Pour booster la mémorisation, des solutions naturelles comme l’apport de plantes, de vitamines et de minéraux sont aussi efficaces. Parmi les plantes légendaires qui agissent sur la mémoire, il y a le Gingko Biloba. Les bienfaits de cette plante ont été démontrés par la baisse de l’hyperactivité, de l’anxiété et une hausse de la concentration. Elle est maintenant disponible sous forme de phytomédicaments. Elle peut être associée avec des vitamines B. Les actions des acides gras non saturés mélangés avec des vitamines, des extraits d’huiles essentielles ont aussi été prouvées. On peut les trouver dans diverses graines et huiles de poissons. Beaucoup de recherches sur des plantes présentant des effets sur la mémorisation sont encore en cours.

Jamais sans gratte-langue

La langue est recouverte d’une fine couche de bactéries qui forme une plaque. Cette plaque favorise la mauvaise haleine, la formation des caries et l’apparition de maladies des gencives. Le gratte-langue permet d’éliminer cette plaque ainsi que les infimes (microscopiques) débris alimentaires qui peuvent s’accumuler sur la langue. En l’utilisant lorsque vous vous brossez les dents, vous gardez votre langue propre et saine.

Préservez votre santé buccale. Achetez votre brosse à langue sur www.grattelangue.fr et faites-en un usage quotidien. Une bonne hygiène bucco-dentaire est l’un des piliers de votre bonne santé physique et votre bien-être psychologique. Elle contribue à votre épanouissement. Elle facilite aussi les relations sociales. S’entendre dire que l’on a mauvaise haleine est choquant et traumatisant. Ce genre de remarque, que l’on considère comme désobligeante malgré sa véracité, peut inciter à se renfermer sur soi, voire à arrêter tout contact avec la société.

Un nettoyage correct de la bouche

Commencez par vous brosser les dents. Utilisez un dentifrice au fluor et une brosse à dents à poils souples. Brossez pendant trois minutes. Ensuite, passez à l’utilisation du fil dentaire pour éliminer la plaque et les minuscules bouts d’aliments qui sont restés coincés entre les dents. Poursuivez avec un bain de bouche antibactérien pour éliminer les bactéries restantes. Finalisez avec un gratte-langue en plastique ou en silicone pour nettoyer la surface de la langue. Séchez votre langue avant d’utiliser cet accessoire. Puis, faites glisser le gratte-langue doucement sur votre langue, de la base vers la pointe. « Crachez » les « débris » dans le lavabo. Rincez la bouche à l’eau tiède et non à l’eau froide comme lorsque vous vous lavez le visage. Cette routine doit se faire matin, midi et soir.

Les causes des torticolis

Avant d’envisager une prise en charge physiothérapique, assurez-vous que des diagnostics d’éventuelles affections plus sérieuses aient été éliminés. Les causes des torticolis sont multiples dont certaines sont présentes dès la naissance.
Elles sont souvent dues à une mauvaise position du fœtus in utero ou à un accouchement trop long, pendant lequel des instruments ont été utilisés comme le forceps, par exemple.
Si le torticolis n’est pas présent à la naissance, mais que son apparition est plus tardive, il est probable qu’il soit la conséquence d’un mauvais positionnement de l’enfant et surtout de sa tête, dans son lit ou dans le siège auto.

Consultez un orthothérapeute

En absence de traitement, d’autres déformations peuvent apparaître. En effet, comme la tête du bébé reste sur le même côté lorsqu’il est couché sur le dos, cela entraîne un aplatissement du crâne. Une prise en charge le plus tôt possible est vivement conseillée. L’orthothérapeute spécialisé va mobiliser toutes ses connaissances anatomiques pour prendre en charge ce torticolis musculaire.
Il va d’abord tenter d’évaluer les capacités de l’enfant à tourner sa tête d’un côté puis de l’autre. Ensuite il va évaluer le fonctionnement de ses différentes structures osseuses, musculaires et nerveuses. Là encore, il n’est pas rare que l’orthothérapeute évalue la mobilité du crâne de l’enfant, car il arrive parfois que le nerf responsable de la contraction de ce muscle sterno-cléido-mastoïdien ne fonctionne pas normalement.
Ce nerf est connu sous le nom de « nerf accessoire » et il se trouve au niveau de la base de la tête. On constate fréquemment qu’en une séance d’une quinzaine de minutes, un orthothérapeute spécialisé parvient à restaurer une mobilité quasi normale du cou d’un nourrisson.

Que faire en cas de torticolis ?

Effectuez des étirements passifs assez doux du muscle touché. L’orthothérapeute peut vous montrer comment faire. Afin de favoriser l’allongement du muscle atteint, n’hésitez pas à stimuler l’attention de l’enfant du côté contraire à la rotation. Il est possible de solliciter la rotation de la tête du bébé en plaçant une serviette roulée du côté de la rotation de la tête de l’enfant. En effet, cela l’oblige ainsi à porter doucement sa tête du côté opposé.

Inscrivez-vous à des séances de groupe

Seul(e), il est difficile de faire face à une dépendance au cannabis. Par contre, en étant bien entouré, des centaines de personnes y arrivent tous les jours. Bien entendu, dans certains cas, il ne s’agira pas de vos proches, mais d’inconnus(es) qui comprennent tout à fait vos problèmes de dépendance.

Si vous ressentez le besoin d’arrêter rapidement votre dépendance au cannabis, inscrivez-vous et participez à des séances de travail de groupe. Vous y ferez la rencontre de personnes qui peuvent comprendre votre bataille intérieure et recevrez le soutien dont vous aurez besoin. Le reste ne dépendra que de votre détermination.

Rendez-vous à la salle de sport

L’accoutumance au cannabis est néfaste pour l’organisme et cela ne se manifeste que lors d’un choc émotionnel important ou simplement à cause de la solitude. Dans ces cas de figure, les personnes concernées se sentent seules et ne sont pas emballées à effectuer des activités physiques.

Pour éviter de trop penser et de ressentir le manque, mettez-vous au sport ! C’est une méthode scientifiquement prouvée et dont l’efficacité n’est plus à démontrer. Si vous n’êtes pas fanatique des sports en salle extrêmes comme le CrossFit ou encore le HIIT, tournez-vous vers leurs variantes. Le plus important est de détourner votre esprit du cannabis, jusqu’à ce que votre corps finisse par ne plus en réclamer.

Essayez le CBD

Cette méthode n’est utilisée que sur les cas d’accoutumance au cannabis extrême. Le principe est simple : continuer d’en prendre, mais à dose réduite, tout en pratiquant une activité sportive. Ainsi, votre corps ne ressentira pas totalement le manque (qui pousse souvent au suicide), tout en ingérant une quantité de CBD.

A la fin du sevrage, votre corps sera parfaitement à l’aise sans le cannabis et vous pourrez continuer tranquillement votre vie. Le CBD est également une alternative à creuser pour les femmes enceintes. Le dosage est réglementé et le médecin devra approuver le traitement pour ne pas affecter l’enfant à naître.

Pour plus d’astuces sur les techniques de sevrage au cannabis, vous pouvez voir comment arrêter ici ! Vous y trouverez même de bonnes idées pour l’écriture d’une liste de motivation.

Allez découvrir le monde

Le but est de vous éloigner de votre quotidien. Selon les études menées par l’université d’Oxford, 70 % des dépendants au cannabis sont stressés dans leur vie quotidienne. Divorce, enfant qui gâche sa vie, femme battue ou encore un patron infernal sont les principales causes de cette dépendance. Il est donc temps de vous éloigner de ces ondes négatives et de vous tourner vers les sables chauds ainsi que les activités nautiques.

Attention, le voyage est censé vous éviter de consommer le cannabis. Ainsi, évitez toute tentation en bannissant les pays où la consommation est monnaie courante. Ne vous y risquez que si vous êtes sûr de vous, au risque de retomber dans l’accoutumance.

Le principe de l’anneau gastrique

Un anneau ajustable est placé autour de l’estomac pour restreindre son volume. Il limite la quantité d’aliments qui peuvent être ingérés au cours d’un repas. Cette technique est de moins en moins utilisée, sauf chez les patients jeunes du fait de son caractère réversible.

La gastrectomie longitudinale, la « sleeve »

Cette intervention chirurgicale implique l’ablation des deux tiers de l’estomac, y compris la partie qui contient les cellules qui synthétise la ghréline, l’hormone qui stimule l’appétit.

Le « by-pass », la technique de la dérivation gastrique

Cette chirurgie s’effectue en deux étapes. La première consiste à réduire la taille de l’estomac. La deuxième étape, consiste à couper l’intestin grêle à un endroit précis ensuite on relie les deux organes. Il existe plusieurs techniques possibles de «  by-pass  ». Cette chirurgie est largement remboursée chez les adultes qui présentent un IMC supérieur ou égal à quarante.

Une opération en dernier recours

Cette chirurgie est proposée à des personnes dont l’indice de masse corporelle (IMC) est supérieur ou égal à quarante et pour l’IMC à trente-cinq si l’obésité est associée à une autre pathologie susceptible d’être améliorée par l’intervention. Cette solution de dernier recours doit être proposée après l’échec d’un traitement médical, nutritionnel, diététique ou psychothérapeutique.

Une efficacité prouvée

L’effet maximal est en général obtenu deux ans après l’opération. Elle s’accompagne d’une diminution des maladies associées à l’obésité. Le risque d’accident cardiovasculaire comme l’infarctus du myocarde ou l’AVC est ainsi divisé par deux.
On observe aussi une régression, voire une rémission, du diabète de type 2, ainsi qu’une réduction de l’hypertension et du taux de cholestérol. Ces bénéfices se traduisent par une amélioration de la qualité de vie et un allongement de l’espérance de vie. Mais Avant de franchir le pas, il est cependant important de noter que la chirurgie n’est que le commencement. Pour des meilleurs résultats, vous devez adopter un changement radical de mode vie.

Les symptômes d’un trouble psychique

Ceux qui souffrent de troubles psychiques sont des personnes tout à fait normales qui peuvent travailler, étudier et avoir des relations sociales épanouies. Les troubles psychiques ne se manifestent pas du jour au lendemain. Alors si vous voyez que votre proche, votre enfant ou votre conjoint est triste en permanence ou qu’il est irrité tout le temps, vous devriez consulter rapidement un médecin. S’il s’isole, est excessivement colérique ou violent, s’il a des troubles de la pensée ou s’il angoisse pour rien, s’il parle de suicide, si ses habitudes alimentaires ont considérablement changé, ou encore si ses habitudes de sommeil se sont modifiées, emmenez-le sans tarder chez un un spécialiste de la santé mentale.

Comment aider un malade de troubles psychiques ?

Pour aider un proche qui souffre de maladie mentale, il faut faire preuve de beaucoup de compassion, car tout comme toute autre maladie, les troubles psychiques ne sont pas voulus. Mais pas d’automédication. Seul le médecin ou le psychiatre qui prescrira le traitement adapté, selon qu’il souffre aussi de maux physiques ou non. Les médicaments vont aider le patient à soulager ses angoisses, ou serviront à réguler son humeur, entre autre choses. De votre côté, en famille, vous pouvez participer à son rétablissement en l’aidant à se nourrir correctement, à faire de l’exercice ou encore à se détendre sainement.

Qui pourrait avoir besoin d’un mandat de 30 ans ?

Étant donné que la durée du terme ainsi que votre âge, votre état de santé et le montant de la couverture que vous obtenez affecte le taux que vous payez pour l’assurance-vie, une police à terme de 30 ans coûtera plus cher qu’une police à court terme. C’est parce qu’à plus long terme, les chances augmentent pour la compagnie d’assurance de devoir payer la police.

Cela signifie également que la couverture sera probablement là si vos proches en ont besoin. Une durée de 30 ans est souvent la plus longue durée disponible et offre à votre famille un coussin de sécurité pour une période prolongée. Lorsque vous êtes jeune et que vous avez de nombreux jalons devant vous, tant financiers que personnels, une durée plus longue peut vous offrir la flexibilité dont vous avez besoin. De plus, vous pouvez verrouiller votre prime au moment de l’achat de votre police et payer le même taux pour les trois prochaines décennies. Vous n’aurez pas à vous soucier de l’augmentation de votre taux avec l’âge.

Qui peut être un bon candidat pour un mandat de 30 ans ?

L’un des éléments suivants :

Jeunes mariés

Les couples qui se sont récemment mariés peuvent bénéficier d’une durée de 30 ans. Si vous joignez vos finances et contractez des dettes, comme une hypothèque. Ensemble, vous voudrez avoir une durée suffisamment longue pour durer jusqu’à ce que ces dettes soient remboursées.

Nouveaux propriétaires

La durée la plus courante d’un prêt hypothécaire à taux fixe est de 30 ans. Donc, si vous avez récemment acheté une maison avec une hypothèque de 30 ans, souscrire une police d’assurance-vie temporaire de 30 ans peut avoir du sens. La plupart d’entre nous consacrent la plus grande partie de nos revenus aux dépenses de logement.

Parents d’enfants jeunes ou ayant des besoins spéciaux

Si vous avez des enfants et que quelque chose vous est arrivé, réfléchissez à l’impact de votre décès sur la situation financière de votre famille. Votre partenaire pourrait-il payer indépendamment la garde des enfants et réaliser vos projets de paiement pour l’université ? Si vous êtes un parent au foyer, votre partenaire pourrait-il se permettre de payer les frais de garde d’enfants et d’autres tâches ménagères que vous gérez ? Pour de nombreux jeunes parents, la réponse peut être non. Si tel est le cas, envisagez une durée d’assurance-vie qui dure au moins jusqu’à ce que vos enfants soient adultes ou terminent leurs études universitaires (selon vos plans de contributions financières).

Une durée de 30 ans peut être abordable. Visitez le site de Santors pour en connaitre davantage.

les troubles neurologiques

Les chocs répétés que les joueurs reçoivent sur la tête entraînent inexorablement des conséquences neurologiques. Pourtant des mesures ont été prises, comme l’interdiction du choc frontal et les équipements ont été étudiés pour protéger les joueurs au maximum. Un casque déformable a même été créé pour optimiser la protection de la tête. L’intérêt de ce casque c’est qu’il s’amortit en cas de chute, ce qui fait que les ondes de choc sont moins fortes. Le cerveau et le crâne sont donc mieux protégés contre les chocs.

L’ encéphalopathie traumatique chronique ou ETC

L’encéphalopathie traumatique chronique est une la maladie qui touche le plus les joueurs de football américain. La sonnette d’alarme a été tirée suite à l’accroissement des suicides chez les joueurs retraités. Des autopsies ont permis de constater des lésions importantes sur les cerveaux des joueurs. Le plus grand danger de l’ETC, est qu’il n’est presque jamais décelé, sauf à l’autopsie. Pourtant cette maladie provoque accès de démence, pertes de mémoire, dépression et bien plus encore. Les joueurs de haut niveau sont plus en danger que les autres. Cette maladie provoque des troubles cognitifs, des troubles du comportement, bref elle avilit la personne qui en est atteinte. Tous se souviennent de l’histoire de ce joueur professionnel qui s’est brutalement mis à tuer le petit ami de la sœur de sa fiancée, puis s’est suicidé dans sa cellule. L’avocat de l’accusé a, à juste titre, accusé la fédération de ne pas être transparente quant aux risques encourus par les joueurs. Pour dire les choses crûment, ce sport se ramène aux jeux de cirque de l’ancien Rome. Des êtres humains sont incités à se battre à la mort dans une arène, pour le seul plaisir d’une foule sanguinaire. Mais le football américain est plus pervers, car la mort n’intervient que dans le plus grand silence.

Des mouvements d’étirements débloquent le nerf sciatique

Puisque la douleur du nerf sciatique vient d’un pincement, certains mouvements peuvent le débloquer, comme vous le voyez sur le site http://nerf-sciatique.fr. Le patient devrait commencer par adopter la bonne posture au quotidien. Il doit toujours garder la droiture de sa colonne vertébrale. Ses pieds ne doivent jamais être croisés. Lorsqu’il se couche, ce serait préférable de dormir sur le côté. Il faut surélever la jambe souffrante ou mettre un oreiller entre les cuisses. Différents mouvements atténuent la douleur. Assise sur le sol avec les pieds tendus, la personne devrait remonter un genou gauche vers la poitrine. Il faudra rester dans cette posture 10 secondes et recommencer avec le second côté. La pose mahométane permet également de soulager. Accroupi, le patient met ses mains en parallèle devant lui. Il doit pousser le bassin vers l’arrière et se maintenir ainsi quelques instants. Dans un autre exercice, il s’assoit avec les jambes allongées. Les paumes doivent tenir la pointe des pieds et y rester 10 secondes.

Certains remèdes naturels permettent d’atténuer la douleur

L’efficacité des remèdes de grand-mère sur les problèmes de dos n’est plus à démontrer. Cela dit, le résultat varie d’une personne à l’autre. Une méthode simple consiste à appliquer une poche d’eau chaude à l’endroit de la douleur lorsque la crise survient. Chez certains individus, le froid fait de l’effet. Il suffit de poser un sac de glaçons sur la zone souffrante. Certaines plantes ont des vertus anti-inflammatoires. L’arnica figure en tête de liste. Cette vivace à la fleur jaune est préparée en herboristerie. Des gélules prêtes à avaler sont également disponibles en magasin. Les graines de fenugrec peuvent servir comme tisane antalgique ou en cataplasme. Certaines huiles essentielles devraient aussi venir en aide aux malades de sciatique. Elles s’utilisent pendant des séances de massage ciblé. L’aromathérapie suggère un mélange d’extraits de girofle, de térébenthine, d’eucalyptus ainsi que de la gaulthérie.

D’autres solutions envisageables pour soulager la douleur

L’ostéopathe reste le soignant le plus indiqué pour régler les problèmes de nerf sciatique. Le spécialiste de cette discipline remet les vertèbres à la bonne place grâce à des gestes très précis. C’est un spécialiste qui a suivi de longues formations sur le squelette et la physiologie. Quelques rendez-vous suffisent parfois à faire disparaître les douleurs de manière définitive. Le chiropraticien peut aussi apporter son aide. Ce spécialiste des vertèbres soigne même les patients de plus de 50 ans. En effet, les problèmes de dos chez les jeunes sujets sont passagers. Beaucoup se résorbent naturellement lorsque la personne améliore son hygiène de vie. L’acupuncture a montré de l’efficacité depuis des millénaires. Les aiguilles sont plantées à des points du corps pour rétablir le flux énergétique. La pratique requiert plusieurs séances totalement sans douleur. Les piqûres sont à peine perceptibles. Elles apportent une guérison définitive sans jamais recourir aux médicaments chimiques.